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Série mythique d’Ubisoft, mêlant action, infiltration et attaques tactiques, Ghost Recon reviendra le 7 mars prochain avec un tout nouvel opus, Wildlands. Preview, en avant-première.
En exclusivité et avec près de 2 mois d’avance,La DH a pu tester une partie de Ghost Recon Wildlands, toujours en développement. Et quelle ne fut pas notre surprise en comprenant que ce titre est probablement le meilleur opus de la série ! Revenons sur les points qui nous ont marqués durant ce test.
Liberté totale
Wildlands est le monde ouvert d’Ubisoft avec la plus grande carte jamais créée. Avec pas moins de 21 régions et 11 écosystèmes différents, le jeu en a dans le ventre et l’on s’en rend compte dès le tutoriel, où l’on parcourt une grande distance en hélicoptère sans même changer de région. Un vrai plus ! La force de Ghost Recon : Wildlands est d’offrir au joueur une liberté totale. On peut réaliser une mission seul ou envoyer ses coéquipiers effectuer le travail, être discret ou au contraire se la jouer à la Rambo, jouer la mission en solo ou avec l’aide d’amis grâce à une coop extrêmement bien huilée. On peut même décider de ne pas jouer certaines missions sans pour autant être pénalisé dans sa progression. Avec plus de 60 véhicules jouables (malgré une physique parfois très approximative pour certains d’entre eux) et des centaines de missions ou de points à découvrir sur la carte, on trouve toujours quelque chose à faire dans ce Wildlands. L’univers est d’ailleurs très vivant puisqu’outre vos ennemis, les Santa Blanca, il est peuplé de policiers corrompus et de rebelles. Ces deux factions s’avèrent d’ailleurs déterminantes dans votre progression puisque les rebelles pourront vous aider à des moments critiques tandis que les policiers ne feront de cadeaux ni à vous, ni au cartel. Ils pourront donc créer des diversions vous facilitant la tâche ou, a contrario, se retourner contre vous avec des moyens surhumains (nous nous sommes retrouvés à combattre trois hélicoptères particulièrement redoutables).
Petit bémol qui fait tache sur ce joli bilan, le jeu ne sera accessible qu’aux utilisateurs bénéficiant d’une connexion internet, même si l’on envisage de jouer uniquement en solo. Une restriction qui ne semble pas insurmontable à notre époque mais qui signifie qu’en cas de panne de réseau, le joueur ne pourra tout simplement pas accéder au jeu.
Bien plus fun à plusieurs
Reste qu’après avoir passé plusieurs heures sur cette version en développement, nous pouvons déjà tirer quelques conclusions très positives sur le futur jeu complet. Wildlands, s’il est bien plus fun avec des amis (entre barres de rires, moments de concentration, voire de stress, et virées en voiture, en avion ou en hélicoptère, l’énorme carte est bien plus sympathique à plusieurs) sera également une réussite auprès des joueurs qui préfèrent évoluer en solo, grâce à un contenu qui semble vraiment impressionnant et à une liberté totale, notamment sur la façon de gérer son équipe. Encore en développement, le jeu est pourtant très stable et en met plein les yeux graphiquement grâce à un très bon travail sur les jeux de lumière notamment. Avec encore deux mois pour peaufiner les derniers détails, nul doute qu’Ubisoft en étonnera plus d’un lors de la sortie de Wildlands. De notre côté, on doit bien l’avouer, on l’attend avec impatience !